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Mes travaux de recherche s’inscrivent dans le domaine des relations intergroupes, avec une approche expérimentale. Une première thématique porte sur les facteurs cognitifs et motivationnels qui sous-tendent les préjugés et la discrimination (modèles de catégorisation sociale, perception des cibles multi-stigmatisées, menaces identitaires ressenties). Je m’intéresse particulièrement à la question de l’immigration, en examinant à la fois le point de vue des groupes minoritaires et celui du groupe majoritaire dans la société d’accueil. Une deuxième thématique analyse l'impact du contexte normatif (politiques d’immigration, modèles d’intégration) sur l’efficacité des stratégies d’intervention visant à réduire les conflits intergroupes. Ces stratégies sont principalement basées sur la théorie de l’auto-affirmation (ANR AFFIRMATIF). Doctorantes :
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Arrivé en psychologie grâce à Steven Pinker (côté évolutionniste) et Stanislas Dehaene (côté cognitif), j'ai terminé en psychologie sociale avec Laurent Bègue et Douglas Kenrick. J'essaie de comprendre comment l'évolution a façonné les fonctions socio-cognitives qui conduisent aux prises de risques (e.g, binge drinking, décisions en contextes extrêmes), à la perception de certaines émotions/sentiments (e.g., amour, douleur) et à la variation dans nos niveaux de bien-être subjectif. Je m’intéresse également aux outils méta-analytiques et à leurs limites notamment dans le traitement des biais de publication. Mes axes de recherche portent sur :
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Je mène des recherches sur les processus psychosociaux, l’impact, la sanction sociale et juridique de la violence dans l'espace public et privé. Mes recherches sur la violence faite aux femmes/violence domestique ont élargi la compréhension de celle-ci en France, en intégrant le contrôle coercitif (Stark, 2007) comme un concept faîtier d'une approche globale de la violence conjugale, mettant l'accent sur les atteintes aux droits humains et aux ressources des femmes et indissociablement des enfants. Mes recherches nourrissent les politiques publiques et pénales et ont contribué à l'introduction du concept de contrôle coercitif dans la formation notamment à l'École nationale de la magistrature, dans la jurisprudence, et à envisager sa traduction juridique en droit français. Doctorantes :
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Mes travaux s’inscrivent dans le champ de la cognition sociale et portent d’une manière générale sur l’interface entre les processus conscients et non conscients et leur impact sur les jugements et les comportements. J’ai un intérêt particulier pour les notions de but(s), de stéréotypes, de confiance, et de consommation. Doctorants :
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Mes recherches sont orientées vers l’étude multifactorielle de la santé et l’apport des concepts, des théories et des modèles psychosociaux dans ce domaine. Plus précisément, mes travaux de recherche sont principalement orientés vers la compréhension des facteurs prédicteurs d’une bonne santé physique et mentale de l’individu ainsi que vers la prévention des risques. Mes intérêts de recherche sont également tournés vers l’étude des mécanismes cognitifs de genre idéologique dans la représentation que l’homme se fait de l’homme, en comparaison, par exemple, avec l’espèce animale. |
Mes travaux se situent principalement dans le cadre organisationnel et portent plus spécifiquement sur les processus d'appropriation de l'espace de travail et d'attachement aux lieux de travail, le bien-être spatial et les nuisances au travail. Plus récemment, je me suis également orientée vers l'étude des facteurs favorisant l'émergence de comportements pro-environnementaux dans les organisations. Doctorants :
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Mes travaux sur la promotion des comportements ayant des co-bénéfices sur la santé et l’environnement (Mobilités actives, alimentations moins carnées, acceptation des politiques publiques de transition écologique/protection de la biodiversité) sont nourris des collaborations avec des chercheurs et chercheuses en santé publique, sociologie, géographie et économie. Je porte le projet ANR JCJC NO-MORE-MEAT (Leviers et obstacles à la réduction de la consommation de viande pour la santé et la durabilité). Mes méthodologies :
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Mes travaux de recherche portent sur la manière dont les individus régulent leurs relations à l’environnement, entendu comme le cadre socio-spatial des activités humaines. Ces expériences environnementales sont en rapport à la fois à un type d’espace, par exemple l’habitat, le quartier, la ville, la planète et à la nature des relations psychosociales que ces espaces impliquent. En effet, s’approprier un espace, se sentir attaché à un lieu, évaluer des risques environnementaux ou encore choisir de minimiser son impact sur la dégradation de l’environnement impliquent des processus psychologiques et comportementaux qui s’inscrivent dans le temps et l’espace. Dans une démarche de recherche appliquée, les questions du bien-être et de la protection de l’environnement sont au centre de mes travaux. Trois thématiques sont privilégiées :
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Mes travaux portent de manière générale sur la façon dont les individus réagissent d’un point de vue affectif, cognitif, et comportemental face à des menaces pour leur identité sociale et pour leur position au sein de leur groupe. Ainsi j’étudie les émotions ressenties et les stratégies utilisées par les individus quand l’image sociale de leur groupe est menacée par les comportements de leurs pairs (i.e., effet brebis galeuse, réaction à la déviance) ou par des stéréotypes (ie., stigmatisation, menace du stéréotype). Une autre partie de mes travaux s’intéresse aux réactions de maintien d’une image de soi positive et d’un niveau de besoins psychologiques satisfaisant face à des situations d’exclusion sociale ou, à l’inverse, de conformité. Doctorants :
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De manière générale, je m’intéresse aux déterminants, rôles fonctionnels et conséquences sociales des croyances adoptées par les individus. Mes travaux de recherche se consacrent plus spécifiquement à l’étude des mécanismes sous-jacents aux croyances aux théories du complot, ainsi qu’à la croyance au libre arbitre et au déterminisme. Par ailleurs, j’étudie également la psychologie du jugement moral.
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Mes travaux portent sur l’étude du lien entre intention et comportement. Je m’intéresse en particulier à l’initiation et au maintien du changement comportemental qualifié de volontaire, qu’il s’agisse de la réalisation de nouveaux comportements ou la modification de comportements passés délétères.
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Thématiques de recherche :
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J’aborde les effets de contexte social (situations de menaces, stress, saillance de la mort, appel à la peur, contextes normatifs et organisationnels) sur les activités de jugement, le sentiment de vulnérabilité, les sentiments d’injustice, les comportements de santé et l’implication dans la vie organisationnelle. Mots clés :
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Mis à jour le 19 juillet 2024